La sainte manie ou la chanson

C’était bien plus récent que mon histoire mais ladite histoire ne le dit pas.

Hurler, hurler comme l’oiseau.

C’est le cœur tombé sur mon sein que j’apaise ma colère, que j’éteins ma voix avec une cigarette, que je dévisse sans la machette. Pour une fois j’apprends.

C’est avec le volatile trompeur de silence que j’irai le corps-morant reconnaitre mon île. Au large, les domaines sont fertiles, sublimes comme ici, rien n’est brèche, personne ne marche sur du verre, ni ne risque son cou. Le bouillon brule et reste chaud pour toujours.

« J’ai douté des détails, jamais du don des nues »

Une Réponse to “La sainte manie ou la chanson”

  1. Lalalie,
    Des trépassés.

    Deux fois. Je répète.

    Là, la ligne
    Des traits passés.

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